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Exposition ENTRE-VUES de Robert Cahen, Cédric Jacquillard et Rarès-Victor

L’Exposition ENTRE-VUES mêle l’ambigu, l’équivoque et le furtif. Nous nous retrouvons à la frontière du réel et de l’imaginaire.
Une parenthèse pendant laquelle nous portons plusieurs regards sur les oeuvres avec une réflexion intime et profonde sur le temps, l’humain, la nature, …

3 artistes avec 3 univers exposent sur cette thématique de la frontière.

 

ROBERT CAHEN

Artiste-vidéaste et figure majeure dans le domaine de la création vidéo et instruments électroniques.
Posez-vous, devant ces écrans, et contemplez…observez…faites lien…faites le vide…ressentez…croisez réel et imaginaire…

 

CEDRIC JACQUILLARD

Artiste-peintre offrant, à travers ses oeuvres, aventures visuelles insolites et inédites.
Une envie de décrypter … d’observer formes, lignes et détails … de puiser dans vos références artistiques, historiques, sociétales et personnelles.

 

RARES-VICTOR

Artiste-plasticien d’origine roumaine dévoilant le corps, l’intime et la nature.
De la nature poétisée, des éléments cachés, des bouts dévoilés, des histoires devinées, des choses ressenties, …

 

« L’Eau qui tombe » – Robert Cahen – Installation vidéo

 

« Pneuma » – Rarès-Victor – Acrylique sur grande toile

 

« The Soothsayer (Le Devin) » – Cédric Jacquillard – Huile sur toile

 

« Oasis » – Cédric Jacquillard – Huile sur toile

 

« Installation Platonique II » – Rarès-Victor

 

« Jaluzia » – Rarès-Victor – Acylique sur toile

 

« Sounder » – Cédric Jacquillard – Huile sur toile

 

« Sounder », « Tape » et « Aqua » – Cédric Jacquillard – Huile sur toile

 

« Aqua » et « L’Annonciation » – Cédric Jacquillard – Huile sur toile

 

Allez jetez un oeil à cette exposition proposée par La Lune en Parachute !

Exposition jusqu’au 13 juillet 2023

Ouverture du mercredi au vendredi de 13h à 18h et le week-end de 14h à 18h.
Entrée gratuite.

 

Crédits photos : ©CD88/ME

 

 

A la découverte de Plombières avec Ultrason et Champion

 

Faire sens avec le terrain

Dans ce projet, il a été question de valoriser les ressources humaines et patrimoniales de Plombières-les Bains. Un village entier a été mis en relation avec un couple de clowns, Ultrason et Champion, afin de permettre un maillage social et artistique, intergénérationnel et durable. Résidents d’EHPAD, élèves du collège et des écoles maternelle et primaire, commerçants, curistes, associations locales, élus et habitants plombinois ont tous été impliqués aux différentes étapes du projet.

A la suite d’échanges et réflexions, des missions ont été proposées aux clowns de La Spontanée et, à l’occasion de nombreux évènements culturels de décembre 2022 à juin 2023, ils sont devenus reporters, guides touristiques, historiens d’arts et conférenciers, animateurs de groupes de parole, danseurs, maîtres de cérémonie, …

Le fil rouge du projet était l’eau et le thermalisme.

 

Rencontre avec Ultrason & Champion 

Lydie Gustin et Francis Albiero

 

La naissance d’Ultrason et Champion

Champion est né d’une improvisation cirque faite dans les années 2000. Francis Albiero, vêtu ce jour -là d’un maillot du meilleur grimpeur de la marque « Champion », entend son ami dire « Et Champion, tu viens par-là ! ». Et le nom fait tilt. Le personnage voit alors le jour et évolue avec le temps.

Ultrason, quant à elle, est née en 2020 avec les prémices d’un personnage qui s’est affiné en quelques années. La voix et le corps continuent d’évoluer aujourd’hui.

La rencontre artistique entre Champion et Ultrason date de 2020. Confinés ensemble, ils ont publié tous les jours des improvisations sur les réseaux sociaux. Le duo s’est peaufiné grâce à ça. En sortant, ils tenaient les bases d’un spectacle sur le cinéma. Puis s’en est suivi un spectacle sur le rock, une visite guidée, un solo d’Ultrason et un spectacle sur l’art contemporain de Champion.

« On est un duo comme Laurel et Hardy, qui avance au fur et à mesure des projets artistiques, mais qui reste le même duo. On se nourrit de tout ce qu’on a déjà fait et, parfois même, on fait des blagues sur ce qu’on a vécu ailleurs. Et le public nous suit ! »

 

Comment vous décrivez-vous en tant que clown ?

« Il y a une image du clown dans la tête des gens : le clown pour enfants qui fait de la magie. Cela ne correspond pas à la nôtre. On nous décrit parfois comme « clown-moderne ».
On a pour habitude d’expliquer notre univers et d’utiliser le terme de théâtre burlesque comme repère. Et parfois, on parle juste d’Ultrason et Champion… le public commence à nous connaître. »

 

Hors d’œuvre – à la découverte d’une œuvre d’art, autrement

Les « hors d’œuvres », créés par Ultrason et Champion, consistent à sortir des murs des œuvres artistiques et les installer dans des lieux improbables pour attirer un autre public.

La Société d’Art et Histoire ainsi que le Musée Louis Français, partenaires du projet, ont mis à disposition une œuvre hors les murs comme support d’échanges.

 

« Le clown, c’est un art du lien. C’est la raison d’être du clown. Il fait le lien entre des gens et différents mondes. Au cirque, il faisait le lien entre différents numéros. On le prend un peu au pied de la lettre. Cela nous permet de faire le lien entre une œuvre très classique du musée et un tout autre public ».

 

 

Les 2 de La Spontanée ont proposé au public plombinois de découvrir une œuvre du musée Louis Français (30 Av. Louis Français, 88370 Plombières-les-Bains). Une façon décalée mais néanmoins savante de présenter des œuvres classiques.

 

L’œuvre présentée lors de ce projet :

La Seine à Bougival de Louis Français à l’Atelier de Julie (2 rue Stanislas), aux Abbesses (6 place Napoléon III) et au Balto (8 Pl. Napoléon III).

« Quasiment tout ce qu’on dit sur l’œuvre et l’artiste est vrai. On le décale pour capter l’attention. Cela permet également d’éclairer un peu différemment notre travail de clown. Les clowns peuvent aussi s’emparer de cette transmission. »

 

Cette forme permet de découvrir l’œuvre d’un autre œil et de s’éloigner du sectaire et du trop sérieux. C’est une porte ouverte au spectacle vivant, au musée, autrement. Cela permet également l’improvisation.

« C’est comme un repas. On prépare le plat, mais on ne sait pas comment on va faire pour le servir. Est-ce qu’on va servir vite ? Vont-ils en reprendre ? L’énergie n’est pas toujours la même. On adapte. »

 

Lien intergénérationnel – retour d’expérience

Un travail de fond a été mené avec de jeunes élèves du collège et les résidents de l’EHPAD à Plombières-les-Bains. Des ateliers avec chacun ont été mis en place, puis des points de rencontres entre ces 2 générations ont permis les échanges. Ce lien intergénérationnel a été une bonne part de leur travail sur ce projet. Ils ont également été à la rencontre des commerçants et habitants de la ville.

« On était là pour faire du lien, et après, il y a des liens qui se sont créés tous seuls lors de notre absence. C’est dans cette continuité que se trouve la réelle richesse des échanges. »

 

Plombières-les-bains sous un autre regard

A travers ce projet, Ultrason et Champion, ont mis en lumière le patrimoine thermal, culturel, architectural et humain de Plombières-les-Bains. Une visite guidée décalée de la commune a été présentée aux habitants, ainsi qu’une visite de l’Espace Berlioz en chantier. A chaque rendez-vous donné, les plombinois ont répondu présents.

« En écoutant les résidents, on découvre des expériences professionnelles liées aux activités ouvrières du coin et à l’eau, on découvre comment ils vivaient et comment ils sont dans leurs corps aujourd’hui, … Plombières est une ville en souffrance actuellement mais avec une volonté de faire des choses. Il y a une réelle richesse. »

 

Projets à venir pour Ultrason et Champion

  • Futur spectacle « The World Tour Singing», concert rock-clown – fin 2024
    Des résidences à venir pour pouvoir continuer à finaliser le spectacle.
  • La continuité des « Hors d’œuvre » et le projet de nuit dans les musées
  • Un retour à Plombières-les-Bains (on l’espère !) dans le cadre d’un CTEAC (Contrat d’éducation artistique et culturelle) ou appel à projet DRAC-ARS

 

Pour plus d’informations :
Ultrason : Lydie Gustin
Champion Francis Albiero
www.lesdeuxdelaspontanee.com

 

 

Les temps forts du projet, en images

 

La « Veillée Rock Garage » chez Josiane

« Hors d’oeuvre » aux Abbesses chez Isa et à l’Atelier de Julie

 

« Tournage exceptionnel » chez Nadine au Broc’Art Bar

En amont de leur tournée mondiale, Ultrason et Champion préparent le clip de leur morceau fétiche, dans une ambiance gothique de bon aloi.

 

« Musique ! » au centre-ville

Le violoncelliste Stan Duguet improvise au Lavoir.

 

 

« Mots de Plombières » à l’Espace Berlioz

A travers un spectacle déambulatoire, Ultrason et Champion restituent le fruit de leurs nombreuses rencontres avec les Plombinois qu’ils ont fréquentés depuis décembre.

 

 

« Pique nique intergénérationnel » au Tarpenet et restitution du projet global

 

Flashmob intitulé « Mamb’eau » présenté aux résidents de l’EHPAD lors du pique nique intergénérationnel.

 

Extraits de l’abcédaire sur le thème de l’eau créé par les collégien et partagé avec les résidents de l’EHPAD.

 

Ce projet a été réalisé avec le soutien de la DRAC, l’ARS, le Conseil départemental des Vosges et la CARSAT.

 

Partenaires du projet 

Structures locales : Ehpad clos des écureuils, Musée Louis Français, Mairie, CCAS, Collège Montaigne, Groupe scolaire Alfred Renauld, Bibliothèque, Espace Berlioz, Office de tourisme

Associations : Jardins en terrasse, Les écureuils, Art et histoire, Fêtes et renaissance, Les tricoteuses

Commerces : Broc’art bar, Tabac presse le Balto, Brasserie les Abbesses, L’atelier de Julie

Habitants/Spectacles à domicile : Annie et Claude Cornu, Catherine et Jean-Baptiste Noël, Josiane Jeanvoine

 

Crédits photos : CD88/ME et CD88/MC

 

 

 

Exposition « Le Continent retrouvé » de Vanina KRČEK

 

L’exposition « Le Continent retrouvé » de Vanina Krček est un voyage intérieur et universel au sein d’un musée de la vie et du Soi. Le visiteur fait connaissance d’une géographie personnelle qui mène vers une réflexion profonde de l’Être, du temps, de l’espace, de l’invisible, de la mémoire, des instants, … et vers la (re)découverte de son continent perdu.

A la fois musée et cabinet de curiosités, on y retrouve toutes sortes de pièces cartographiées et scénographiées (carnets, cartes, artefacts, dessins, sculptures, animaux, …) qui permettent une exploration jusqu’au milieu de l’Être.

Exposition dans le cadre du pôle culture et patrimoine de la ville d’Épinal.

 

Retour en images sur l’exposition « Le Continent retrouvé »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les Terres suspendues
Fragment 1 : Sens dessus dessous
Fragment 2 : Terre refuge
Fragment 3 : Le dernier espoir
Fragment 4 : L’Axe du Monde
Fragment 5 : Construire sa solitude là-haut
Fragment 6 : Sur une plaine fragmentée

 

Tableau : Les sirènes ne sentent pas les larmes dans la mer

 

 

 

 

 

Espace SILENCIO

Habiter le monde.
Recherche-création ésotérique pensée comme une rencontre entre l’artiste, la matière et le temps.
Habiter un espace de silence.
Cet espace offert comme un moment méditatif invite le visiteur à s’y recueillir, respirer, se déposer.
Où vous situez-vous en ce moment dans ce monde ?

 

 

 

Crédit photos : ©CD88/ME

 

Pour en savoir plus sur l’artiste Vanina Krček :
> Profil artiste Culture C Nous
> Profil MUM – le musée des univers miniatures
> Site web : association2bis.wixsite.com/artfolio

« La Guerre de Catherine » de Lydie Académie de danse

« La Guerre de Catherine« , création chorégraphique de Lydie Fornage de Lydie Académie de danse d’Epinal.

Ce spectacle dansé met en scène Catherine, adolescente juive en temps de guerre, et la suit dans ses rencontres amicales, sa découverte de l’amour, son périple pour échapper aux soldats allemands et sa passion pour la photographie. Le thème de la photo, qui adoucit cette trame dramatique et donne des notes optimistes et lumineuses, sert de fil conducteur tout au long du spectacle.

Illustration de la BD, vidéo, photographie, musiques et danses variés se marient de manière émouvante grâce aux 120 danseurs enfants et adultes de l’école de danse dirigée par Lydie Fornage.

C’était salle comble à la Rotonde de Thaon-les-Vosges samedi. Le public était au RDV et a été plongé dans les années 40 grâce à une immersion dès l’entrée en salle.

Spectacle soutenu par le Conseil départemental des Vosges.

 

Retour en images du spectacle …

Crédits photos : ©Serge Orlik ©Denis Jacquot ©Valerie Vasseur

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les Imaginales, la Fête des Images et la Rencontre bodypainting France 2023

Les Imaginales 2023, en images…

THÈME 2023 : LE FUTUR DE LA CITÉ

 

Le Parc du Cours 

Pendant le festival, tout le parc était investi par les expositions et animations, les stands d’auteurs, de libraires et d’artisans des mondes de l’imaginaire.

Des personnages, venus d’un autre temps, déambulaient dans le parc pour le plus grand plaisir du public.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Bulle du Jeu

Sous la coordination de l’association Pl’asso Jeux, divers associations d’Épinal ou de Lorraine, ont proposé des animations de jeux.

 

 

Les Magic Mirrors

Des chapiteaux à l’ancienne, venus de Hollande, ont accueilli des tables rondes, cafés littéraires et débats ainsi que les remises des prix et les soirées du festival.

 

La Bulle du Livre 

Un grand chapiteau a rassemblé autrices et auteurs en dédicace, illustrateurs, éditeurs et libraires.

 

Rencontre Bodypainting France

A l’occasion d’un des plus grand rassemblement annuel de bodypainting en France, des artistes venus de tous les coins de France ont peint leurs modèles en direct devant le public. Cest modèles ont ensuite pu déambuler dans le parc et défiler dans un Magic Mirrors.

 

 

 

 

 

 

 

 

La Fête des Images

Désormais organisée lors des Imaginales, cette huitième édition, qui s’est tenue du jeudi 25 au samedi 27 mai, a proposé au public de revivre le succès du spectacle immersif de 2022 Place de Vosges. Le parcours s’est poursuivi place Edmond Henry avec une projection sur la façade du tribunal, une jeune création sur le beffroi de la Basilique, et un nouveau parcours menant le public jusqu’à la place Foch.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Crédits photos : ©CD88/ME

 

Vincent Ganaye et son exposition « Par-delà la ligne bleue »

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Rencontre avec l’artiste-peintre Vincent Ganaye

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Artiste-peintre, une vocation

Vincent Ganaye est artiste depuis toujours. Enfant, il peint déjà et, à 10 ans, il découvre la photo et ne s’est jamais arrêté depuis.

 

La nature, thème omniprésent

Sur cette exposition, il aborde surtout la montagne. Installé près de Saint-Dié-des-Vosges, il passe une grande partie de son temps sur les sommets et crêtes vosgiennes. Il s’inspire également de ses voyages en France et à l’étranger.

Ses œuvres sont un amalgame de toutes les impressions et émotions qu’il ramène de ses balades, ses randonnées et ses excursions. Les peintures, exposées au Département, reflètent l’imaginaire, la photographie, quant à elle, donne une prise dans le réel.

 

« Par-delà la ligne bleue »

Avec ce titre, Vincent Ganaye met l’accent sur le ressenti, le vécu et les émotions.

« C’est une façon de poursuivre un peu le voyage et le chemin, à travers la peinture, en donnant un peu plus de liberté et d’imaginaire. Cela ouvre la porte à beaucoup de choses tout en gardant le pied dans le réel, car la montagne est tout de même décrite et fantasmée. Elle peut être très présente dans mon esprit mais peut également être complètement recomposée et imaginée. »

 

 

Le processus de création, une forme de voyage

« Lorsque je commence une œuvre en atelier, je n’ai pas de fil directeur. Je commence sur une page blanche ; je trace parfois des traits et je ne sais pas où je vais. C’est au fur et à mesure que cela se tisse. Tout se met en place progressivement. Ça m’arrive de faire des petits croquis au préalable, mais globalement c’est dans le vif. C’est un peu comme une improvisation en musique, une partition qui se compose. On déroule son imagination et cela se construit. »

 

Les Vosges, une terre d’art

« C’est un territoire propice aux artistes. Aujourd’hui il y a une grande dynamique artistique et il y a beaucoup plus d’artistes qu’avant. »

Les Vosges et ses montagnes sont une source d’inspiration dans son art. Cela fait partie de son patrimoine artistique.

 

Zoom sur une œuvre de l’exposition

Ce dessin est assez représentatif de son travail, avec une perspective de montagnes, un parcours avec un chemin et un premier plan avec des rochers . Il reflète l’idée de voyage et de déplacement.

« C’est ma façon de pratiquer la montagne. Des rochers sont placés sur le chemin, comme des obstacles, pour montrer qu’on est dans une zone de nature. C’est un chemin pour le marcheur, pour la solitude et pour la découverte. Ce n’est pas lié à l’exploitation de la nature, tel qu’on peut la voir aujourd’hui, et du tourisme de masse. Cela n’a pas été tracé pour l’Homme. C’est important que la montagne garde son caractère sacré et qu’on puisse y trouver des refuges. »

 

Des conseils pour la génération d’artistes en devenir 

« Il faut être fidèle à soi, à son âme, à sa pensée. Il ne faut pas chercher à copier, à imiter les autres.  Il faut trouver sa voie, son style, sa signature, son orientation. Il faut se méfier des modes, des tendances et de tout ce qui pourrait polluer la création. Il faut que le message soit fort et ne pas se laisser submerger par tout ce qui se passe autour de vous. »

 

DÉCOUVREZ SES ŒUVRES SANS PLUS ATTENDRE ! 

Jusqu’au 8 septembre 2023
Entrée libre
de 9h à 16h30 du lundi au vendredi
Conseil départemental des Vosges | 8 rue de la Préfecture à Epinal

 

(RE)DÉCOUVREZ LE TEASER DE L’EXPOSITION

 

Pour plus d’informations sur Vincent Ganaye :
Facebook | Instagram | Site web : vincentganaye.com

 

Photos et teaser : ©CD88/ME

 

 

Tryptique de la Cie La Gueule Ouverte proposé par l’association Côté Jardin

Ce samedi 11 mars, l’association Côté Jardin gâte son public avec un Tryptique, 3 spectacles en 1 de la compagnie La Gueule Ouverte.

 

1) Conseil de classe

De manière humoristique, il joue ce professeur de collège, qui se retrouve dans une classe vide et qui va revivre sa journée, parler de ses doutes, de sa solitude et de son désespoir tout en gardant une lueur d’espoir.

2) Le roi du silence

Face à l’urne renfermant les cendres de sa mère, le comédien entreprend un monologue imaginaire dans lequel elle revient d’entre les morts pour hanter son fils qui révèle sa vraie nature.

3) Dépôt de bilan

C’est dans la pénombre sur fond de musique électro que le comédien raconte l’histoire de ce personnage addict à son travail. Le public assiste médusé à la descente vertigineuse de cet homme. L’euphorie de la voix et la rapidité de la diction laissent place peu à peu aux dérapages, à la perte de réalité et maintiennent le public en apnée.

 

Le tryptique démarre à 18h. Chaque spectacle dure environ 1 heure avec un entracte de 30 minutes entre chaque spectacle.
Pendant que les décors changent, le public est invité à sortir de la salle afin de profiter d’une petite collation et d’un temps d’échanges.

 

 

Rencontre avec Michèle Collet et Marie Pascale Lesprit Kopp pour une interview Culture C Nous

 

Geoffrey Rouge-Carrassat se retrouve seul sur scène face au public, une mise en scène épurée et 3 histoires. Qu’est-ce qui vous a attiré dans cette proposition scénique ?

Ce qui nous a scotché c’est la performance du comédien qui est capable de porter 3 spectacles à la suite avec l’intensité qu’il y met, la qualité de jeu et la présence scénique. Il y a quelque chose qui se passe. Il a une prestance, un magnétisme. Il m’a fait penser à Philippe Caubère dans La Danse du Diable, seul en scène capable de faire vivre plusieurs personnages.

Geoffrey Rouge-Carrassat a quelque chose. Je pense qu’il va être reconnu parmi les grands.

C’est ça qui nous a donné l’envie de le proposer dans les Vosges.

Le parcours de Geoffrey Rouge-Carrassat 

Geoffrey entre au Conservatoire de Lyon, puis au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris, à l’âge de 17 ans. Son premier texte, Y’a pire, faut pas s’plaindre ! est primé par le Centre National du Théâtre en 2015. En 2016, il fonde la Compagnie La Gueule Ouverte.

Titulaire du Diplôme d’État de professeur de théâtre et d’un Master de création littéraire, il mène un doctorat SACRe (Sciences Arts Création Recherche) au CNSAD.

Actuellement artiste associé à Strasbourg, il vient nous offrir ce tryptique dans les Vosges.

 

Les thématiques abordées par les 3 spectacles, l’homosexualité, les relations prof-élèves, les addictions et le burn-out au travail, sont des sujets souvent tabous. Pensez-vous que le théâtre peut être vecteur de messages pour rompre les non-dits ? Est-ce une volonté de la part de votre association d’aborder des thématiques sociétales à travers votre programmation ?

Ce n’est pas ce qui vient en premier. Il se trouve que le théâtre peut « servir à », mais c’est la démarche artistique qui est d’abord notre centre d’intérêt. Nous regardons la qualité du spectacle.

 

 

L’association Côté Jardin a été fondée en 1986 pour promouvoir la culture et la diffusion du théâtre dans les Vosges et plus particulièrement sur le territoire de Saint-Dié-des-Vosges. Pouvez-vous nous en dire plus sur votre association ?

L’association est née d’un ensemble de personnes réuni avec la volonté d’une programmation théâtrale professionnelle, classique ou contemporaine, sur le secteur de Saint-Dié-des-Vosges.

Nous travaillons également de plus en plus avec le public scolaire. C’est important pour nous. Nous avons de très bons relais avec tous les établissements scolaires du secteur. Pour nous, le théâtre a aussi cette mission tournée vers la jeunesse.

Nous travaillons étroitement avec le Spectacle Vivant de l’agglomération de Saint-Dié-des-Vosges avec qui nous co-programmons des choses. Il nous arrive aussi d’avoir certaines interactions avec les associations ou les médiathèque. Cela dépend du spectacle et comment nous pouvons l’enrichir sur le territoire.

Pour en savoir plus sur l’association Côté Jardin, découvrez leur présentation complète.

 

Et le théâtre dans les Vosges, ça donne quoi ? Et la jeunesse dans tout ça ?

Depuis la Covid, nous avons une baisse de la fréquentation, en général, mais aussi une frilosité de la part des enseignants. Nous avons un spectacle qui est à sa 3ème programmation parce qu’il y a eu des annulations à cause de la Covid. Cela crée une démotivation de la part du corps enseignant, mais nous continuons d’avancer et de proposer des choses.

Pour ce qui est de la jeunesse, notre volonté est d’avoir au moins un spectacle sur les quatres qui soit ouvert aux scolaires. L’année dernière nous avions proposé 3 spectacles avec des séances scolaires, dont un spectacle avec 2 séances. Nous aimons faciliter les passerelles entre les professionnels de la culture et les enseignants.

 

Pour suivre l’actualité de l’association, suivez-les sur leur page Facebook et sur la plateforme Culture C Nous.
Il reste un spectacle en avril avant de clôturer la saison !

Et une nouvelle saison, déjà bouclée, s’annonce dores et déjà prometteuse avec des spectacles repérés au Festival d’Avignon et le spectacle 187,75 Hz de la compagnie vosgienne Cie Ultreia.

Lorelyne Foti, metteure en scène et comédienne de la Cie Ultreia est dotée d’un regard et d’une exigeance artistique formidable. C’est un spectacle très émouvant avec une forme particulière : une toute petite jauge, le public installé autour d’elle.

 

Crédits photos : Victor Tonelli
Vidéos: Cie La Gueule Ouverte

 

 

Invitation : L’Olympiade Culturelle départementale – Vosges Terre de Break’Danse

Acteurs du monde sportif, culturel, éducatif ou social,
vous êtes invités à participer à une réunion d’échange avec la Compagnie S’Poart.

 

Au programme :

Présentation de la Compagnie et du dispositif à travers une démonstration par deux danseurs/danseuses et un échange avec le chorégraphe, puis temps de travail pour imaginer et co-construire ensemble un projet qui allie sport et culture.

 

>> 5 dates possibles :

  • Lundi 6 mars – de 15h30 à 17h00
    Théâtre du Peuple à Bussang – Salle de la Popote – 40 rue du Théâtre du Peuple 88540 Bussang
  • Mardi 7 mars – de 17h00 à 18h30
    Trait d’Union à Neufchâteau – 1 rue Regnault 88300 Neufchâteau
  • Mercredi 8 mars – de 17h00 à 18h30
    Siège du Conseil Départemental à Epinal – Salon Jeanne d’Arc – 8 rue de la Préfecture 88000 Epinal
  • Jeudi 9 mars – de 18h30 à 20h00
    Centre de Préparation Omnisports Pierre Coubertin – 361 avenue du Haut de Fol – 88800 Vittel
  • Vendredi 10 mars – de 10h30 à 12h00
    Espace George Sadoul  – Salle Lautescher – 28 Quai Sadi Carnot, 88100 Saint-Dié-des-Vosges

Une rencontre réservée aux partenaires de l’Education Nationale se tiendra le mercredi 8 mars de 14h30 à 16h00 heures au Siège du Conseil départemental – Salon Jeanne d’Arc – 8 rue de la Préfecture à Epinal

 

>> Inscrivez-vous dès maintenant !
Inscription possible jusqu’au 05 mars 2023

 

>> Consultez le dossier du projet 


Contact :

Michael Helmrich
Chargé de mission spectacle vivant et enseignement artistique
03 29 29 86 72
mhelmrich@vosges.fr

 

Cette invitation est ouverte, n’hésitez pas à la partager.
Merci de votre participation !

Crédits photos : Compagnie S’poart

CultureCNous sur la route !

CCN_sur_la_route

CultureCNous propose à sa communauté 9 rendez-vous sur le territoire * afin de vous accompagner dans l’utilisation de ce nouvel outil :

  • 16 janvier | Neufchâteau
  • 24 janvier | Epinal
  • 27 janvier | Saint-Dié-des-Vosges
  • 2 février |Darney
  • 7 février | Le Thillot
  • 2 mars | Vittel
  • 9 mars | Senones
  • 17 mars | Mirecourt
  • 24 mars | Gérardmer

* au sein des Maisons de la Solidarité et de la Vie Sociale.

Ces rencontres ont pour objectif de vous présenter les nouvelles fonctionnalités du site, d’étudier des cas adaptés à votre profil et de vous proposer de la mise en pratique concrète.

Un CNFS du Département (Conseiller numérique France Services), qui a pour mission d’accompagner les usagers vers l’autonomie numérique et de réduire la fracture, sera également présent lors des différentes rencontres.

Ces rencontres sont un prolongement du site qui accompagne déjà à distance les acteurs culturels dans l’utilisation du nouvel outil de travail depuis son lancement le 18 octobre 2022.

 

Inscrivez-vous dès maintenant via le formulaire en ligne 
(inscription obligatoire, places limitées)

Public visé
Tout acteur culturel du territoire.
Un individuel ou une équipe au sein d’une structure.
Artistes (spectacle vivant, arts plastiques et visuels, …), collectivités, écoles de musique, écoles de danse, bibliothèques/médiathèques, associations, lieux de diffusion, sites du patrimoine, …

 

Objectifs de la rencontre

  • Créer votre compte (si ce n’est pas déjà fait)
  • Compléter votre profil
  • Découvrir toutes les fonctionnalités du site et apprendre à s’en servir
  • Comprendre l’utilité et les avantages de la plateforme web pour vos besoins spécifiques
  • Regrouper votre retour d’expérience et répondre à vos questions

 

Prérequis
Aucun prérequis nécessaire. Nécessité d’avoir une adresse mail pour la création d’un compte.

 

Contenu et déroulé

  1. Tour de table
  2. Présentation de la plateforme et de toutes ses fonctionnalités
  3. Etudes de cas adaptées à votre profil
  4. Mises en pratique concrètes

Si vous avez un besoin précis, nous pouvons aller jusqu’à mettre en place votre projet en ligne directement lors de notre rencontre.

 

Interlocuteur
Le Conseil départemental des Vosges
Rencontre animée par Murielle Eghtesad, animatrice des réseaux culturels. Elle sera accompagnée par un CNFS – Conseiller numérique France Services.

 

Suivi
La « hotline » CultureCNous est là pour vous !  A tout moment vous pouvez nous contacter pour toute question sur la plateforme ou pour un problème technique.

 

Votre nouvelle plateforme et les prochaines étapes

Ce qu’il faut savoir aujourd’hui sur la nouvelle plateforme Culture C Nous, les étapes à venir et les inscriptions en cours !