Premier spectacle de la compagnie Comme le jourCe qu’on attend de moi se destine à être joué dans des lieux non-dédiés au spectacle vivant. 

Si vous avez la chance d’avoir un grand salon ou que vous connaissez un lieu non-équipé qui pourrait se prêter à accueillir une représentation théâtrale, Ce qu’on attend de moi est fait pour ça. 

C’est l’occasion d’un moment de partage autour d’un événement immersif.

 

Ce qu’on attend de moi – Cie Comme le jour

Texte : Vincent Guédon

Collaboration artistique : Alexia Vidal

Jeu : Adeline Walter

 

Une femme fait le récit d’une prise d’otage. Il ne s’agit pas d’une banque. C’est une agence pour l’emploi. Un matin, armée d’une fausse arme, elle entre dans l’agence et prend en otage ses employé·e·s, sa directrice. Que veut-t-elle ?
De l’argent ? Du travail ? Non. Elle veut prendre la parole.


Haletante. L’écriture de Vincent Guédon est tenace. Une tirade percutante à la manière d’un coup de poing, un monologue qui tord et gifle pour mieux produire le son du cri, et fait entendre, au loin, le tapage des Hommes qui meurent de ne plus savoir qui être, quoi être, comment être…

Entre dramaturgie et fait divers, l’écrivain s’empare du réel, de l’accident de parcours et de la chute, et lentement, érige l’effondrement.

Vincent Guédon est né à Château-Gontier en Mayenne, et vit à Paris. Comédien, issu du Théâtre National de Bretagne, il travaille avec plusieurs metteurs en scène. Vincent Guédon collabore au journal L’Impossible, dirigé par Michel Butel. Ce qu’on attend de moi est son premier roman.

Adeline Walter est née à Saint-Dié-des-Vosges. Après des études au Conservatoire de Nancy, puis à l’ERACM, elle s’installe à Paris et collabore avec plusieurs compagnies dont celle d’Alexia Vidal. Depuis quelques mois, elle est revenue en déodatie et y implante Comme le jour, compagnie de théâtre professionnelle.

 

Pour recevoir le spectacle, peu de choses sont nécessaires :

  • quelques heures en amont pour mettre en place le dispositif scénique.
  • une billetterie à prix responsable et engagé (c’est un tarif que les spectateur·ices fixent elleux-mêmes à hauteur de leurs moyens financiers)
  • un minimum garanti est obligatoire afin que la compagnie puisse salarier la comédienne et rentrer dans ses frais (une jauge de 18-20 personnes minimum est idéale).
  • de quoi s’asseoir (sachant que la compagnie peut fournir des chaises pour la représentation).
  • de quoi boire un verre à l’issue du spectacle.  

 

Le mieux étant évidemment de se rencontrer pour en discuter ! 

Au plaisir d’une rencontre prochaine,

Bien à vous, La compagnie Comme le jour