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Retour en images sur le Festival Rues & Cies

Sous la nouvelle direction artistique de la compagnie spinalienne L’Etincelle ProD, Rues & Cies a offert au public une variété de spectacles d’art vivant et de fanfares musicales.

Plusieurs acteurs culturels vosgiens étaient au programme : Jean-Nicolas Mathieu, Stann Duguet, Max Ollier, la cie Le Crieur, la cie La Spontanée, la cie ART-borescence, Uperc-Ut World Champion Veteran Marching Band et la Fanfare La Nouba.

Retour en images…

 

Compagnie Le Crieur – Wouuu Houuu
Vosges (88)

Deux clowns qui s’aiment, se détestent, mais ne peuvent vivre l’un sans l’autre.
Ces deux amoureux du théâtre gestuel et du cinéma burlesque (Laurel et Hardy, Buster Keaton, …) cherchent à revisiter l’art du duo clownesque par une création à la fois tendre, primitive, absurde et poético-burlesque.

 

Max Ollier – Vexations mécaniques 1.0.1
Saint Barbe (88)

Une équipe d’ouvriers s’apprête à prendre son poste. Mission du jour : 840 répétitions d’une même pièce, d’un même ensemble de notes. Peu à peu, la machine grandit, s‘orne de rouages, courroies, mécanismes sonores. Elle enfle, emplit l’espace physique et acoustique. Reste aux ouvriers à trouver leur place dans ce fatras sonore. Suivre le mouvement, le précéder ? S’y contraindre ou le maîtriser ? Tant de voies possibles…

Max Ollier nous offre une performance musicale où il met à l’honneur l’homme, la machine et Erik Satie.

 

Minuit Compagnie – Wonder petrol
Caen (14)

Une fable circassienne musicale dansée, pour se confronter avec poésie et dérision à une réalité toute proche, celle de la fin de l’ère pétrolière. Sous une imposante grue, les six personnages vont faire face au vertige de demain en s’interrogeant sur les rêves et ambitions d’hier.

Minuit est une compagnie qui défend un théâtre circassien et poétique, dans lequel la musique et la scénographie sont au premier plan des créations.

 

 

Photos : ©CD88|ME

 

Icônes de l’association Les Fêlés du Local

A l’occasion du 20ème anniversaire de l’Espace culturel et social de la Pranzière à Cornimont, le public a pu découvrir le spectacle Icônes, écrit et mis en scène par Sylvia Voinet.

C’est une salle comble dans la salle J. Villeret. En effet, le public, venu entre amis ou en famille, est au RDV pour témoigner de la belle sororité et complicité entre toutes les comédiennes de l’association Les Fêlé.es du Local.

Icônes mêle amateures et professionnelles de tous âges (de 30 à 75 ans). Ce groupe de femmes a travaillé sur ce projet commun tout au long de l’année, de l’automne 2024 au printemps 2025.  Ecriture du spectacle grâce à leurs témoignages, arts de la scène, technique, fabrication de costumes et accessoires…, elles ont pu toucher à tous les métiers du spectacle vivant à travers cette création.

Le spectacle aborde le sujet du droit des femmes, mais pas que.
On y découvre le destin d’icônes féminines qui ont marqué l’histoire, mais on parle également du quotidien de toutes les femmes.
Avec humour, poésie, légèreté, force, audace et un brin de folie, on passe d’une scène à une autre en chant, en danse et de surprise en surprise.

Coco arrive à l’atelier. On l’appelait Mademoiselle, mais elle s’appelait Gabrielle.
Rokudenashiko est en prison parce qu’elle a osé sculpter une vulve, Sacheen Littlefeather vient affronter le public des Oscars au nom de Marlon Brando.
Et aussi Rosa Parks qui a refusé de céder sa place à un homme blanc, Carmen sacrifiée au nom de l’amour d’un homme jaloux, la Du Barry ou la Pompadour qui ont dû choisir l’ombre des Grands Hommes pour survivre.
Il y a bien sûr toutes ces injonctions faites aux hommes comme aux femmes pour perpétuer de vieilles traditions.
Un spectacle à rire et à pleurer pour se divertir et s’étonner.

 

A la fin du spectacle, le micro s’est ouvert pour laisser la parole au public et nous avons pu constater qu’Icônes parle à tous, femmes et hommes.

La restitution s’est faite dans le cadre des 20 ans de l’ECSP, qui a chaleureusement accueilli l’association lors du processus de création et des répétitions du spectacle.

 

L’association Les Fêlé.es du Local

L’association, créée en 2017, a pour mission de réaliser ou promouvoir des projets festifs et culturels. Elle œuvre également à revitaliser les lieux de culture au cœur des territoires vosgiens. Elle apporte son soutien à d’autres associations en mettant à leur disposition des bénévoles.

 

Icônes en images …

Photos : ©Les Fêlé.es du Local

 

 

Zinc Grenadine – le salon du livre jeunesse

Un programme riche pour petits et grands

Le festival, soutenu par Le Conseil départemental des Vosges, était de retour pour une nouvelle édition très colorée.

Les visiteurs ont à nouveau pu profiter d’un programme riche et festif :

  • Rencontre et dédicaces avec les autrices et auteurs
  • Découverte d’ouvrages jeunesse d’ici et d’ailleurs
  • Spectacles en tout genre
  • Concerts et fanfare
  • Contes et lectures
  • Ateliers et animations

Des acteurs locaux de la littérature jeunesse ont également répondu présents pour dévoiler leurs œuvres. Pour rappel, depuis 2023, le festival a ouvert ses portes aux auteurs, illustrateurs et éditeurs du coin désireux de rencontrer leur public.

Des acteurs culturels vosgiens du monde du spectacle vivant (théâtre, danse, musique) ont aussi participé à enrichir le programme de 2 jours.

Retour en images

 

Rencontre et dédicaces avec les autrices et auteurs de livres jeunesse

Déambulation d’Oléocada

Spectacle MICHELINE de la cie L’Aéronef, avec Anne Marion

Micheline part en voyage. Elle attend le train.
Elle porte une valise.
Sur scène, un petit train.

À partir de cette situation très simple, la danseuse déploie son univers. Fait entrer l’objet dans la danse, dessine un territoire, attire et détend l’attention, convoque l’imaginaire, sculpte les détails, détourne les images. Peu à peu, tandis que le corps traverse les paysages, des objets, des animaux s’invitent, en rêve, en corps, et encore, et encore…

Sommes-nous sur le quai avec elle ? Sommes-nous dans le train ? Sommes-nous déjà loin ? L’espace est une question. La danse est un point d’interrogation.

 

Les ateliers des mots et des images sur le thème de la mer organisés par les Foyers ruraux des Vosges

 

La Machine à dessiner de l’artiste Xavier Gury

Présentation des créations des étudiants de l’ESAL (installation, projection, éditions)
Créations d’écoles maternelles et primaires

 

 

La Fête médiévale de Châtel-sur-Moselle

Démo des archers

Association La Hird d’Ull

Performances artistiques

Artisanat du Moyen Âge

Grand spectacle

John Di Domenico avec les « Chevaux de prestige »

Campements vivants – démonstrations de la vie médiévale

L’Accrotour – la tour d’escalade

 

 

 

Retour en images sur le Boplicity Jazz Festival 2023

Musique et patrimoine

 

La 3ème édition du festival a repris ses quartiers d’été au Château des Capucins à Rambervillers. Les organisateurs du festival, ainsi que les propriétaires de ce lieu insolite, Edith et Francis Phelipeau, ont à nouveau accueilli très chaleureusement le grand public au sein du parc du château.

Les festivaliers ont pu profiter de la belle façade du château, de jour comme de nuit. Le Château des Capucins, construit à la fin du XVIIIe et inscrit aux Monuments Historiques, est un précieux témoignage des styles architecturaux qui se sont succédé entre le règne de Louis XVI et le Premier Empire.

 

Discours de bienvenue
Benoît Brunner, co-fondateur du festival

 

Une ambiance cool & conviviale

 

Le festival s’adresse à tous les publics. Novices voulant découvrir de nouvelles sonorités ou fanatiques de jazz ven.u.es voir les têtes d’affiche et groupes nouvelle génération…tous ont une place.

Jeudi, pour la soirée gratuite de lancement, beaucoup de familles, toutes générations confondues, viennent découvrir l’ambiance conviviale créée par les organisateurs.

Une soirée d’ouverture aux grooves urbains

 

Michael ALIZON Around Quintet a ouvert les festivités !

Un  nouveau quintet voit le jour et propose des sonorités très électriques, à la fois funk et trip-hop.

Michael ALIZON – saxophones
Erwin SIFFER – claviers
Jean-Yves JUNG – claviers
Claire Chookie JACK – basse
Jérôme SPIELDENNER – batterie

 

 

Pour plus d’informations sur Boplicity Jazz Festival :

Crédits photos : ©CD88/MEghtesad

Exposition ENTRE-VUES de Robert Cahen, Cédric Jacquillard et Rarès-Victor

L’Exposition ENTRE-VUES mêle l’ambigu, l’équivoque et le furtif. Nous nous retrouvons à la frontière du réel et de l’imaginaire.
Une parenthèse pendant laquelle nous portons plusieurs regards sur les oeuvres avec une réflexion intime et profonde sur le temps, l’humain, la nature, …

3 artistes avec 3 univers exposent sur cette thématique de la frontière.

 

ROBERT CAHEN

Artiste-vidéaste et figure majeure dans le domaine de la création vidéo et instruments électroniques.
Posez-vous, devant ces écrans, et contemplez…observez…faites lien…faites le vide…ressentez…croisez réel et imaginaire…

 

CEDRIC JACQUILLARD

Artiste-peintre offrant, à travers ses oeuvres, aventures visuelles insolites et inédites.
Une envie de décrypter … d’observer formes, lignes et détails … de puiser dans vos références artistiques, historiques, sociétales et personnelles.

 

RARES-VICTOR

Artiste-plasticien d’origine roumaine dévoilant le corps, l’intime et la nature.
De la nature poétisée, des éléments cachés, des bouts dévoilés, des histoires devinées, des choses ressenties, …

 

« L’Eau qui tombe » – Robert Cahen – Installation vidéo

 

« Pneuma » – Rarès-Victor – Acrylique sur grande toile

 

« The Soothsayer (Le Devin) » – Cédric Jacquillard – Huile sur toile

 

« Oasis » – Cédric Jacquillard – Huile sur toile

 

« Installation Platonique II » – Rarès-Victor

 

« Jaluzia » – Rarès-Victor – Acylique sur toile

 

« Sounder » – Cédric Jacquillard – Huile sur toile

 

« Sounder », « Tape » et « Aqua » – Cédric Jacquillard – Huile sur toile

 

« Aqua » et « L’Annonciation » – Cédric Jacquillard – Huile sur toile

 

Allez jetez un oeil à cette exposition proposée par La Lune en Parachute !

Exposition jusqu’au 13 juillet 2023

Ouverture du mercredi au vendredi de 13h à 18h et le week-end de 14h à 18h.
Entrée gratuite.

 

Crédits photos : ©CD88/ME

 

 

A la découverte de Plombières avec Ultrason et Champion

 

Faire sens avec le terrain

Dans ce projet, il a été question de valoriser les ressources humaines et patrimoniales de Plombières-les Bains. Un village entier a été mis en relation avec un couple de clowns, Ultrason et Champion, afin de permettre un maillage social et artistique, intergénérationnel et durable. Résidents d’EHPAD, élèves du collège et des écoles maternelle et primaire, commerçants, curistes, associations locales, élus et habitants plombinois ont tous été impliqués aux différentes étapes du projet.

A la suite d’échanges et réflexions, des missions ont été proposées aux clowns de La Spontanée et, à l’occasion de nombreux évènements culturels de décembre 2022 à juin 2023, ils sont devenus reporters, guides touristiques, historiens d’arts et conférenciers, animateurs de groupes de parole, danseurs, maîtres de cérémonie, …

Le fil rouge du projet était l’eau et le thermalisme.

 

Rencontre avec Ultrason & Champion 

Lydie Gustin et Francis Albiero

 

La naissance d’Ultrason et Champion

Champion est né d’une improvisation cirque faite dans les années 2000. Francis Albiero, vêtu ce jour -là d’un maillot du meilleur grimpeur de la marque « Champion », entend son ami dire « Et Champion, tu viens par-là ! ». Et le nom fait tilt. Le personnage voit alors le jour et évolue avec le temps.

Ultrason, quant à elle, est née en 2020 avec les prémices d’un personnage qui s’est affiné en quelques années. La voix et le corps continuent d’évoluer aujourd’hui.

La rencontre artistique entre Champion et Ultrason date de 2020. Confinés ensemble, ils ont publié tous les jours des improvisations sur les réseaux sociaux. Le duo s’est peaufiné grâce à ça. En sortant, ils tenaient les bases d’un spectacle sur le cinéma. Puis s’en est suivi un spectacle sur le rock, une visite guidée, un solo d’Ultrason et un spectacle sur l’art contemporain de Champion.

« On est un duo comme Laurel et Hardy, qui avance au fur et à mesure des projets artistiques, mais qui reste le même duo. On se nourrit de tout ce qu’on a déjà fait et, parfois même, on fait des blagues sur ce qu’on a vécu ailleurs. Et le public nous suit ! »

 

Comment vous décrivez-vous en tant que clown ?

« Il y a une image du clown dans la tête des gens : le clown pour enfants qui fait de la magie. Cela ne correspond pas à la nôtre. On nous décrit parfois comme « clown-moderne ».
On a pour habitude d’expliquer notre univers et d’utiliser le terme de théâtre burlesque comme repère. Et parfois, on parle juste d’Ultrason et Champion… le public commence à nous connaître. »

 

Hors d’œuvre – à la découverte d’une œuvre d’art, autrement

Les « hors d’œuvres », créés par Ultrason et Champion, consistent à sortir des murs des œuvres artistiques et les installer dans des lieux improbables pour attirer un autre public.

La Société d’Art et Histoire ainsi que le Musée Louis Français, partenaires du projet, ont mis à disposition une œuvre hors les murs comme support d’échanges.

 

« Le clown, c’est un art du lien. C’est la raison d’être du clown. Il fait le lien entre des gens et différents mondes. Au cirque, il faisait le lien entre différents numéros. On le prend un peu au pied de la lettre. Cela nous permet de faire le lien entre une œuvre très classique du musée et un tout autre public ».

 

 

Les 2 de La Spontanée ont proposé au public plombinois de découvrir une œuvre du musée Louis Français (30 Av. Louis Français, 88370 Plombières-les-Bains). Une façon décalée mais néanmoins savante de présenter des œuvres classiques.

 

L’œuvre présentée lors de ce projet :

La Seine à Bougival de Louis Français à l’Atelier de Julie (2 rue Stanislas), aux Abbesses (6 place Napoléon III) et au Balto (8 Pl. Napoléon III).

« Quasiment tout ce qu’on dit sur l’œuvre et l’artiste est vrai. On le décale pour capter l’attention. Cela permet également d’éclairer un peu différemment notre travail de clown. Les clowns peuvent aussi s’emparer de cette transmission. »

 

Cette forme permet de découvrir l’œuvre d’un autre œil et de s’éloigner du sectaire et du trop sérieux. C’est une porte ouverte au spectacle vivant, au musée, autrement. Cela permet également l’improvisation.

« C’est comme un repas. On prépare le plat, mais on ne sait pas comment on va faire pour le servir. Est-ce qu’on va servir vite ? Vont-ils en reprendre ? L’énergie n’est pas toujours la même. On adapte. »

 

Lien intergénérationnel – retour d’expérience

Un travail de fond a été mené avec de jeunes élèves du collège et les résidents de l’EHPAD à Plombières-les-Bains. Des ateliers avec chacun ont été mis en place, puis des points de rencontres entre ces 2 générations ont permis les échanges. Ce lien intergénérationnel a été une bonne part de leur travail sur ce projet. Ils ont également été à la rencontre des commerçants et habitants de la ville.

« On était là pour faire du lien, et après, il y a des liens qui se sont créés tous seuls lors de notre absence. C’est dans cette continuité que se trouve la réelle richesse des échanges. »

 

Plombières-les-bains sous un autre regard

A travers ce projet, Ultrason et Champion, ont mis en lumière le patrimoine thermal, culturel, architectural et humain de Plombières-les-Bains. Une visite guidée décalée de la commune a été présentée aux habitants, ainsi qu’une visite de l’Espace Berlioz en chantier. A chaque rendez-vous donné, les plombinois ont répondu présents.

« En écoutant les résidents, on découvre des expériences professionnelles liées aux activités ouvrières du coin et à l’eau, on découvre comment ils vivaient et comment ils sont dans leurs corps aujourd’hui, … Plombières est une ville en souffrance actuellement mais avec une volonté de faire des choses. Il y a une réelle richesse. »

 

Projets à venir pour Ultrason et Champion

  • Futur spectacle « The World Tour Singing», concert rock-clown – fin 2024
    Des résidences à venir pour pouvoir continuer à finaliser le spectacle.
  • La continuité des « Hors d’œuvre » et le projet de nuit dans les musées
  • Un retour à Plombières-les-Bains (on l’espère !) dans le cadre d’un CTEAC (Contrat d’éducation artistique et culturelle) ou appel à projet DRAC-ARS

 

Pour plus d’informations :
Ultrason : Lydie Gustin
Champion Francis Albiero
www.lesdeuxdelaspontanee.com

 

 

Les temps forts du projet, en images

 

La « Veillée Rock Garage » chez Josiane

« Hors d’oeuvre » aux Abbesses chez Isa et à l’Atelier de Julie

 

« Tournage exceptionnel » chez Nadine au Broc’Art Bar

En amont de leur tournée mondiale, Ultrason et Champion préparent le clip de leur morceau fétiche, dans une ambiance gothique de bon aloi.

 

« Musique ! » au centre-ville

Le violoncelliste Stan Duguet improvise au Lavoir.

 

 

« Mots de Plombières » à l’Espace Berlioz

A travers un spectacle déambulatoire, Ultrason et Champion restituent le fruit de leurs nombreuses rencontres avec les Plombinois qu’ils ont fréquentés depuis décembre.

 

 

« Pique nique intergénérationnel » au Tarpenet et restitution du projet global

 

Flashmob intitulé « Mamb’eau » présenté aux résidents de l’EHPAD lors du pique nique intergénérationnel.

 

Extraits de l’abcédaire sur le thème de l’eau créé par les collégien et partagé avec les résidents de l’EHPAD.

 

Ce projet a été réalisé avec le soutien de la DRAC, l’ARS, le Conseil départemental des Vosges et la CARSAT.

 

Partenaires du projet 

Structures locales : Ehpad clos des écureuils, Musée Louis Français, Mairie, CCAS, Collège Montaigne, Groupe scolaire Alfred Renauld, Bibliothèque, Espace Berlioz, Office de tourisme

Associations : Jardins en terrasse, Les écureuils, Art et histoire, Fêtes et renaissance, Les tricoteuses

Commerces : Broc’art bar, Tabac presse le Balto, Brasserie les Abbesses, L’atelier de Julie

Habitants/Spectacles à domicile : Annie et Claude Cornu, Catherine et Jean-Baptiste Noël, Josiane Jeanvoine

 

Crédits photos : CD88/ME et CD88/MC

 

 

 

Exposition « Le Continent retrouvé » de Vanina KRČEK

 

L’exposition « Le Continent retrouvé » de Vanina Krček est un voyage intérieur et universel au sein d’un musée de la vie et du Soi. Le visiteur fait connaissance d’une géographie personnelle qui mène vers une réflexion profonde de l’Être, du temps, de l’espace, de l’invisible, de la mémoire, des instants, … et vers la (re)découverte de son continent perdu.

A la fois musée et cabinet de curiosités, on y retrouve toutes sortes de pièces cartographiées et scénographiées (carnets, cartes, artefacts, dessins, sculptures, animaux, …) qui permettent une exploration jusqu’au milieu de l’Être.

Exposition dans le cadre du pôle culture et patrimoine de la ville d’Épinal.

 

Retour en images sur l’exposition « Le Continent retrouvé »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les Terres suspendues
Fragment 1 : Sens dessus dessous
Fragment 2 : Terre refuge
Fragment 3 : Le dernier espoir
Fragment 4 : L’Axe du Monde
Fragment 5 : Construire sa solitude là-haut
Fragment 6 : Sur une plaine fragmentée

 

Tableau : Les sirènes ne sentent pas les larmes dans la mer

 

 

 

 

 

Espace SILENCIO

Habiter le monde.
Recherche-création ésotérique pensée comme une rencontre entre l’artiste, la matière et le temps.
Habiter un espace de silence.
Cet espace offert comme un moment méditatif invite le visiteur à s’y recueillir, respirer, se déposer.
Où vous situez-vous en ce moment dans ce monde ?

 

 

 

Crédit photos : ©CD88/ME

 

Pour en savoir plus sur l’artiste Vanina Krček :
> Profil artiste Culture C Nous
> Profil MUM – le musée des univers miniatures
> Site web : association2bis.wixsite.com/artfolio

« La Guerre de Catherine » de Lydie Académie de danse

« La Guerre de Catherine« , création chorégraphique de Lydie Fornage de Lydie Académie de danse d’Epinal.

Ce spectacle dansé met en scène Catherine, adolescente juive en temps de guerre, et la suit dans ses rencontres amicales, sa découverte de l’amour, son périple pour échapper aux soldats allemands et sa passion pour la photographie. Le thème de la photo, qui adoucit cette trame dramatique et donne des notes optimistes et lumineuses, sert de fil conducteur tout au long du spectacle.

Illustration de la BD, vidéo, photographie, musiques et danses variés se marient de manière émouvante grâce aux 120 danseurs enfants et adultes de l’école de danse dirigée par Lydie Fornage.

C’était salle comble à la Rotonde de Thaon-les-Vosges samedi. Le public était au RDV et a été plongé dans les années 40 grâce à une immersion dès l’entrée en salle.

Spectacle soutenu par le Conseil départemental des Vosges.

 

Retour en images du spectacle …

Crédits photos : ©Serge Orlik ©Denis Jacquot ©Valerie Vasseur