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Trop près du mur

Un ascenseur émotionnel hors normes.

Typhus, c’est celui qui plonge à l’intérieur de toi pour y mettre le Bronx. Lorsque Typhus parle à l’acteur de son désir d’enfant, celui-ci n’a pas d’autre choix que d’exaucer son vœu… à sa manière. Mais dans ce jeu de poupées russes, qui contrôle qui ? Qui élève qui ?
Comme l’adulte et l’enfant dialoguent au cœur d’une même personne, ici s’affrontent le clown sensible, sans filtre, et l’homme social, l’être de raison. Typhus, c’est l’impulsif, l’enfant fou au cœur qui déborde et à la naïveté inquiétante. Celui qui dit la vérité et refuse les règles.
Trop près du mur est l’histoire d’un être profondément inadapté qui se met en devoir d’en éduquer un autre, tiraillé entre sa maladresse et son envie de bien faire, entre ses pulsions sauvages et son besoin de tendresse.

Emmanuel Gil offre une nouvelle performance virtuose pour un spectacle caustique, où l’on rit, on jubile et on grince des dents, tout cela à la fois.

Je suis trop vert

Quand la vie aux champs devient une expérience initiatique.

La 6eD a de la chance, elle devrait partir en classe verte. Pour ça, il faut tout d’abord que tout le monde en soit d’accord et en ait les moyens, et puis il va falloir s’adapter à ce nouveau lieu plein de bêtes, de bruits, d’odeurs et de labeur : la campagne quoi !
Après le succès des deux premiers volets de la trilogie jeune public de David Lescot sur l’entrée dans l’adolescence, Je suis trop vert clôt la série dans un élan galvanisant.

Je suis trop vert

Quand la vie aux champs devient une expérience initiatique.

La 6eD a de la chance, elle devrait partir en classe verte. Pour ça, il faut tout d’abord que tout le monde en soit d’accord et en ait les moyens, et puis il va falloir s’adapter à ce nouveau lieu plein de bêtes, de bruits, d’odeurs et de labeur : la campagne quoi !
Après le succès des deux premiers volets de la trilogie jeune public de David Lescot sur l’entrée dans l’adolescence, Je suis trop vert clôt la série dans un élan galvanisant.

Salade tomate, oignons

Une rencontre d’un troisième type.

Un soir, un homme croise le regard d’une femme dans un kebab. Cet instant, reconnaissance immédiate de deux solitudes, il nous le raconte dans un flot de mots, tous les mots refoulés depuis des années. Il évoque les solitudes, les parcours et les questionnements de ceux qui cherchent leur place entre les cultures. Ce spectacle parle de celles et ceux qui font le pari de ne pas se cacher derrière une appartenance, celles, ceux qui vont, fragiles, à la recherche de l’Autre. Ce spectacle mêle humour, émotion et réflexion, offrant une vision nuancée des enjeux contemporains liés à l’identité.

Jean-Christophe Folly joue au théâtre, notamment, sous la direction de Robert Wilson, Jean Bellorini, Élise Chatauret et au cinéma dans des films de Claire Denis, Alain Resnais ou Ruben östlund (Sans filtre, Palme d’or Cannes 2022).

Almataha

Quand l’énergie étincelante du hip-hop rencontre la poésie de la marionnette, on assiste à un véritable petit bijou à voir avec toute la famille !

Brahim Bouchelaghem, grande figure du hip-hop, nous embarque dans un univers onirique autour d’une création originale mêlant danse, marionnettes et théâtre d’objet ! Trois danseurs s’emparent du plateau pour raconter un récit initiatique émouvant les petits et les grands. Ils mettent en mouvement une marionnette nommée Shorty et divers objets en papier et en carton au rythme d’une musique envoûtante aux influences électroniques, hip-hop et jazz.

Métaphore de nos hésitations et de nos apprentissages, Brahim Bouchelaghem y explore le mythe du labyrinthe.
Nous y retrouvons la figure du Minotaure, celle d’Ariane et son fil, comme lien avec la liberté, ou encore Icare et son désir d’envol.

Phèdre !

François Gremaud coupe le mal « à la Racine ».

Bien sûr, on le devine, il est question de Phèdre, la plus fameuse et plus jouée des tragédies de Racine. Pourtant, bien que son principal sujet, elle n’est pas le véritable sujet de ce spectacle. Ce dernier se cache sous le point d’exclamation, ce signe de ponctuation qui, au temps de Racine, était appelé point d’admiration. En effet, le véritable sujet de Phèdre ! est l’admiration que son unique protagoniste voue à la tragédie de Racine. Ici la tragédie se mue en un monologue joyeux. Avec emphase, Romain Daroles nous dévoile sa passion pour les amours contrariées entre l’épouse du roi d’Athènes et son beau-fils. L’érudition n’est pas soluble dans l’humour et c’est un véritable précis de théâtre classique qui nous est révélé : généalogie mythologique, vertus de l’alexandrin, notion de catharsis…

Initialement conçu pour les écoles, cet irrésistible métadiscours incarné est à mettre devant toutes les oreilles.

Phèdre !

François Gremaud coupe le mal « à la Racine ».

Bien sûr, on le devine, il est question de Phèdre, la plus fameuse et plus jouée des tragédies de Racine. Pourtant, bien que son principal sujet, elle n’est pas le véritable sujet de ce spectacle. Ce dernier se cache sous le point d’exclamation, ce signe de ponctuation qui, au temps de Racine, était appelé point d’admiration. En effet, le véritable sujet de Phèdre ! est l’admiration que son unique protagoniste voue à la tragédie de Racine. Ici la tragédie se mue en un monologue joyeux. Avec emphase, Romain Daroles nous dévoile sa passion pour les amours contrariées entre l’épouse du roi d’Athènes et son beau-fils. L’érudition n’est pas soluble dans l’humour et c’est un véritable précis de théâtre classique qui nous est révélé : généalogie mythologique, vertus de l’alexandrin, notion de catharsis…

Initialement conçu pour les écoles, cet irrésistible métadiscours incarné est à mettre devant toutes les oreilles.

Phèdre !

François Gremaud coupe le mal « à la Racine ».

Bien sûr, on le devine, il est question de Phèdre, la plus fameuse et plus jouée des tragédies de Racine. Pourtant, bien que son principal sujet, elle n’est pas le véritable sujet de ce spectacle. Ce dernier se cache sous le point d’exclamation, ce signe de ponctuation qui, au temps de Racine, était appelé point d’admiration. En effet, le véritable sujet de Phèdre ! est l’admiration que son unique protagoniste voue à la tragédie de Racine. Ici la tragédie se mue en un monologue joyeux. Avec emphase, Romain Daroles nous dévoile sa passion pour les amours contrariées entre l’épouse du roi d’Athènes et son beau-fils. L’érudition n’est pas soluble dans l’humour et c’est un véritable précis de théâtre classique qui nous est révélé : généalogie mythologique, vertus de l’alexandrin, notion de catharsis…

Initialement conçu pour les écoles, cet irrésistible métadiscours incarné est à mettre devant toutes les oreilles.

Roman Doduik

Roman Doduik n’est pas un Youtubeur qui s’essaye au spectacle mais un humoriste qui dévorait la scène bien avant de devenir une star des réseaux sociaux.

Dans son spectacle, Roman se débarrasse de la bien-pensance des réseaux et renoue avec un stand-up aussi piquant qu’intelligent. Une écriture incisive au service d’un show où alterne rire et émotion de toute la famille.

De la difficulté de ne pas ressembler à un mâle Alpha et d’être pris pour un membre de la GenZ, à 26 ans, Roman fait preuve de beaucoup d’autodérision. Il s’amuse de son célibat, dresse un réquisitoire sans complaisance sur les coulisses de l’influence, tente une formation accélérée aux codes des ados et à ceux des boomers et réussit le défi de renouer le dialogue entre les générations.

Chat / Chat

Un spectacle à voir et à toucher.

« Mais où se cache le chat ? Ah tiens, il est là ! Il dort, mais à quoi rêvent les chats ? »

Dans ce théâtre d’objets pour tout-petits, on suit à la trace un chat rêveur et farceur, qui se cache derrière les images, les sons et les mots. Ce spectacle de théâtre se construit comme une comptine sonore et colorée qui suit le parcours d’un petit chat à la découverte du monde. Superposant jeux de mots et jeux de couleurs, les petits expérimentent en douceur le théâtre de manière ludique, drôle et sensible.

Un atelier parent-enfant vous est proposé par la metteuse en scène Stanka Pavlova samedi 17 janvier de 10h30 à 12h à la Nef.

En partenariat avec le Contrat Territorial d’Éducation Artistique et Culturelle (CTEAC) dans le cadre du dispositif « résidence-éveil pour la petite enfance ».