Rencontre avec les membres du groupe BottomZ Up et interview d’Erwan Spinner, guitariste du groupe

Jean Polin (voix), Lucas Tarral (guitare lead), Erwan Spinner (guitare rythmique), Théo Didelot (basse), Pierre Pereaux (batteur)
Comment décririez-vous votre musique ?
On est un rock hybride, parfois borderline metal avec une prédominance mélodique. On fait une musique festive qui fait bouger la tête. Un intermédiaire entre le rock et le metal qui plait à pas mal de monde.
Et quelles sont les influences musicales de tous les membres du groupe ?
Notre batteur, Jean, écoute plutôt du metal et du metal extrême. Il a également une pratique jazz.
Notre chanteur, Steven est influencé par le trash années 80 et le metal.
Notre guitariste, Lucas, également trash années 80 et beaucoup de Metallica.
Moi je suis plutôt metal core et metal moderne.
Et notre bassiste, Théo, écoute un peu de tout.
Nos influences restent dans le milieu rock et rock metal, mais à des périodes différentes. Avec toutes nos influences, je pense qu’on arrive à créer des morceaux très riches.
Vous êtes un groupe assez récent (créé en 2017) … Etes-vous content de l’évolution du groupe et de ce que vous avez accompli ces 2 dernières années ? Et quels sont vos objectifs pour la suite ?
Au début, on n’était pas très sérieux. Notre ancien chanteur n’était pas trop disponible. Et on ne cherchait pas activement des scènes… on nous contactait plutôt pour nous proposer des concerts.
Puis on s’est mis au boulot. Aujourd’hui, on est en train de passer à une vitesse supérieure. Le groupe Dog’n’Style, des amis, nous ont beaucoup aidé.
Et puis on prévoit la sortie d’un EP début juillet 2020 avec tout ce qui suit… une tournée en France, le merchandising, …

Les Vosges, un territoire très rock qui vous inspire ?
Epinal, c’est un cercle de musiciens très grand, il y a pas mal de groupes. On peut se nourrir de tout ça et des expériences de tout le monde.
Et puisil y a public assez réceptif au rock. Quand on creuse, au-delà des musiciens, on trouve des gens qui s’intéressent.
Vous composez vous-même vos morceaux. C’est votre volonté en tant que groupe de parler de choses légères et festives ? Une signature que vous vous êtes donnée ?
C’est l’essence du groupe… faire la fête. On s’éclate. On ne se prend pas la tête.
Notre dernière composition est plus engagée, sur un thème plus sérieux, mais en général, on veut transmettre quelque chose de festif. Et ça se suit après, sur la scène avec les gens.
Quel est votre plus beau souvenir sur scène ?
Les Sapins Barbus : consécration de 2 ans de boulot et encore plus les 3-4 derniers mois. On a changé de batteur début mai et il a vraiment apporté de nouvelles idées… on a bossé à fond. Au festival Sapins Barbus on s’est senti le plus à l’aise. Le public était super réceptif. C’est notre meilleur souvenir. D’ailleurs on a eu du mal à redescendre de ce beau nuage.

Si demain vous pouviez jouer la 1ère partie d’un groupe de votre choix… lequel serait-ce ?
Je ne sais pas. Question difficile. On a tous des influences différentes.
Côté groupe français… pour que l’on puisse, au-delà de jouer, partager leur expérience, je dirais le groupe Ultra Vomit. On est dans le même délire. Ils sont ultra marrants, pas prise de tête.
Aujourd’hui vous êtes un groupe de musique amateur. C’est votre souhait de vous professionnaliser un jour ?
C’est toujours quelque part dans le coin de notre tête, évidemment. Ce serait un rêve. Après il faudrait voir si c’est compatible avec nos vies… Ce serait compliqué, mais ça fait toujours rêver.
Pour plus d’informations sur BottomZ Up
Page Facebook : @bottomzupmusic
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