Mon grand-père, né en 1900 avait 18 ans à l'époque de la grippe espagnole.
Il me raconntait souvent de ce temps là qui l'avait plus marqué que les deux guerres. "Je n'ai jamis eu de réunion de d'anciens élèves, car tous mes camardes de classe ont succombé à la grippe. " dit il.
Des jeunes hommes en pleine forme qui, quelques instants auprravent, avaient parlé avec lui dans le tramway s'effonndraient subitement, le nez ensanglanté. Morts.
Un phénomène aussi foudroyant et virulent que des années plus tard on s'interrogera même si réllmement, la maladie avait été une grippe, ou plutôt une sorte de fièvre hémorragique comme l'Ebola.
Mais ce fut bien le H1N1.
Même si le Corona n'est pas (encore) aussi virulent et mortel que la grippe espagnole, il nous apporte qund même une lueur de la sensation dans la quelle devaient vivre nos aieuls en 1918/19 Cette menace invisible et omniprésente, le poids des mesures exceptionelles, le confinement.
Nous les auteurs et autres acteurs culturels ne sommes pas épargnées. Spectacles, salons et bourses anullés. Une atmosphère tendue qui pèse partout.
Je me dis que je ne suis pas vraiment en risque, je me déplace que dans un rayon realtivement étroit. Après, j'ai une maman agée qui vit avec moi qui en plu, a des antécédents de maladies respiratoires.
Alors j'anulle les salons, j'évite les foules, j'esquive les tentatives de bises, même si cela crée un mauvais sentiment.
Ce n'est pas facile de continuer à travailler ces jurs ci, mais il le faut.
Essayons de conserver une vie normale au maximum.
Commentaires» dernier commentaire
***********
Nadia Viscogliosi
Chargée du développement numérique à la Direction Culture, Sport et Jeunesse - Conseil départemental des Vosges
"Vous trouvez que l'éducation coûte cher ? Essayez l'ignorance !"
(attribué à) Abraham Lincoln
Riverboat